La musique de Yunè Pinku aborde de nombreuses facettes de la vie d’un jeune au début des années 2020. « J’essaie de saisir les étranges sentiments intermédiaires que tout le monde éprouve mais que personne ne décrit, comme lorsque vous avez l’impression que vous devriez être heureux mais que vous ne l’êtes pas, ou, si vous êtes à une fête, que vous vous déconnectez en quelque sorte. Sa musique incarne ce sentiment de détachement désincarné. Mi-malaisienne, mi-irlandaise, cette nouvelle venue basée dans le sud-est de Londres superpose des voix mélancoliques et sirupeuses à une production qui s’inspire des canons rave britanniques, mais avec une inclinaison agitée et texturée. C’est une musique à écouter avant de boire tout en appliquant de l’eyeliner, pour les lendemains de fête désordonnés et pour le retour à la maison en Uber à 8 heures du matin.

Après avoir récemment sorti ses premiers singles hypnotiques « Laylo » et « Affection », yunè pinku est sur le point de sortir son premier EP solo. « Le projet dans son ensemble parle d’une sorte d’attente anxieuse des choses et d’un sentiment constant d’essayer d’être plus fort. Bluff’ utilise des tambours de garage scuttly avec des stabs de basse UKG de l’âge d’or, tandis que ‘Affection’ prend une ligne de basse dubby rappelant le post-dubstep expérimental du début des années 2000, avec sa voix comme un synthé tranchant dans la production. Avant cela, yunè a collaboré avec l’étoile montante de la dance australienne Logic1000 sur « What You Like ». Elle a également été cosignée par Joy Orbison, qui l’a invitée à participer à un mix pour sa résidence sur Radio 1. « J’étais tellement heureuse qu’ils aient tenté leur chance avec moi, surtout que je n’avais rien sorti.

English

 yunè pinku’s music taps into many facets of being a young person in the early 2020s. “I try to grasp the weird in between feelings that everyone has but no one describes, like where you feel like you should be happy but you’re not, or, if you’re at a party, and sort of tune out.” Her music bottles this disembodied feeling of detachment. Half-Malaysian and half-Irish, the South East London-based newcomer layers wistful, syrupy vocals over production that draws from the UK rave canon but with a restless, textural slant. It’s music for pre-drinking while applying eyeliner; the messy afters; the 8am Uber journey home. 

Having recently dropped her mesmeric first singles ‘Laylo’ and ‘Affection’, yunè pinku is now on the cusp of releasing her debut solo EP. “The project overall is about sort of anxiously attending things and the constant sense of trying to be tougher.” ‘Bluff’ employs scuttly garage drums with golden era UKG bass stabs, while ‘Affection’ takes on a dubby bassline reminiscent of experimental early 00s post-dubstep, with her voice like a synth cutting into the production. Prior to this, yunè collaborated with rising Australian dance star Logic1000 on ‘What You Like’. She has also been co-signed by Joy Orbison, who invited her to contribute a guest mix on his Radio 1 residency. “I was so happy they took a chance on me, especially considering I didn’t have anything out. »