The Radio Dept. est un groupe de pop originaire de Malmö, en Suède.
A l’automne 2001, Johan Duncanson et Martin Larsson (aujourd’hui Carlberg) décident de rassembler quelques personnes et de monter un groupe.

Au printemps 2002, à la faveur d’un article dithyrambique sur le groupe dans le magazine suédois Sonic, le label Labrador basé à Stockholm prend contact avec The Radio Dept. Après deux EPs autoproduits et sortis sur Slotted, le label du groupe, et un sorti par Labrador, le premier album Lesser Matters publié en janvier 2003 reçoit un accueil critique chaleureux. Re-sorti par la suite en 2004 par XL Recordings / Beggars, ce premier album permet à The Radio Dept. de toucher un public plus international.

Au fil des années la notoriété de The Radio Dept. ne cesse de se développer, poussée encore un peu plus par l’apparition de trois de leurs morceaux (‘Pulling Our Weight’, ‘I Don’t Like It Like This’ et ‘Keen On Boys’) sur la bande-originale du film de Sofia Coppola, Marie Antoinette.

Début 2006, Pet Grief, le deuxième album du groupe, est publié. Bien qu’il n’ait pas reçu la même reconnaissance que son prédécesseur par la presse musicale, l’album devient très populaire grâce au soutien d’une fanbase importante sur le web. En 2008, le groupe sort son troisième album, Clinging To A Scheme, avec les singles ‘David’, ‘Heaven On Fire’ et ‘Never Follow Suit’, suivi d’une grosse tournée internationale. Pour combler le temps passé entre les albums, en 2011 Labrador décide de sortir une compilation, Passive Agressive, composée de singles, de B-sides et de raretés.

Après quelques singles, ‘Death To Fascism’ en 2014 et ‘This Repeated Sodomy’ en 2015, la sortie de leur quatrième album Running Out Of Love est annoncée pour le 21 octobre 2016.

English

« We have just finished our 4th full-length album, Running out of Love. An album about life in Sweden in 2016 and how our society seems to be in regression on so many levels. Politically, intellectually, morally… It’s an album about all the things that are moving in the wrong direction. It’s about the impatience that turns into anger, hate and ultimately withdrawal and apathy when love for the world and our existence begins to falter.

Running out of Love has moulded itself into a rather dystopian album, mainly because it was created in a sense of deep frustration over the reactionary currents which characterize our time. »