The Dare
New York City est à nouveau en ébullition. Blâmez The Dare.
Le nouveau projet de Harrison Patrick Smith se délecte de l’esthétique du « bloghouse » de la fin des années 2000 avec un air d’abandon post-COVID. À parts égales hymnique et impertinent, les tubes mémorables de The Dare plaident en faveur d’une renaissance de l’électroclash.
« Le dancepunk et l’électroclash représentent beaucoup de mes idéaux personnels en matière de musique », explique-t-il. « Cela doit être amusant, dangereux, un peu punk et primitif, mais toujours de bon goût et stylé. »
Harrison est une figure incontournable de la scène club florissante de New York. Ses concerts et sa résidence de DJ, Freakquencies, attirent des hordes de jeunes branchés du centre-ville dans des clubs underground aux sols collants. Après trois ans à être collectivement frustrés par une pandémie mondiale, la jeunesse agitée de la ville a soif d’un artiste qui incarne la fête. En tant que The Dare, Harrison Patrick Smith répond à l’appel : « Ce que je fais n’est pas si compliqué. Il s’agit de l’énergie. Il s’agit de donner aux gens la permission de passer un bon moment. »
English
New York City is horny again. Blame The Dare. Harrison Patrick Smith’s new project revels in the aesthetics of late 2000s bloghouse with a post COVID air of abandonment.
Equal parts anthemic and cheeky, The Dare’s quotable bangers make a compelling case for the electroclash revival. “Dancepunk and electroclash represent a lot of my personal ideals about music,” he explains. “It should be fun, dangerous, somewhat punk and primitive, but still tasteful and stylish.” Harrison is a fixture in New York City’s thriving club scene.
His DJ residency, Freakquencies, draws hordes of downtown cool kids to sticky-floored underground clubs every Thursday. After three years getting communally cock-blocked by a global pandemic, the city’s restless youth is hungry for an artist to embody the party. As The Dare, Harrison Patrick Smith steps up to the plate: “What I do is not that complicated. It’s about the energy. It’s about giving people permission to have a good time.”