mui zyu
En tant que mui zyu, l’artiste britannique de Hong Kong Eva Liu cherche un portail, errant entre le rien et le tout à la recherche de la paix.
Sur son deuxième album « nothing or something to die for », elle se tourne vers l’extérieur, embrassant le chaos à chaque pas hésitant. Avec un regard sur l’absurde, elle pose la question suivante : « comment trouver le portail vers le chemin que nous désirons tous ? »
Le premier album de mui zyu, Rotten Bun for an Eggless Century (Father/Daughter Records) l’a vue explorer son héritage, tout en plongeant à l’intérieur d’elle-même pour trouver l’acceptation et la guérison.
Aujourd’hui, au lieu de chercher des réponses à l’intérieur, Liu lève la tête pour regarder le monde qui l’entoure. Alors qu’elle tente de comprendre les complexités et la signification de l’existence humaine, elle observe l’apathie à côté d’un chaos accablant ; les progrès technologiques de la connexion avec l’absence de liens significatifs et les frustrations liées au respect des normes fixées par les autres. « Nothing or Something To Die For » tente de déchiffrer ces vérités juxtaposées, en tenant compte à la fois du poids de ceux qui tentent de détruire le monde et de la futilité totale de tout cela.
English
As mui zyu, Hong Kong British artist Eva Liu searches for a portal, wandering between nothing and everything in her pursuit of peace. On her second full-length album ‘nothing or something to die for’ she looks outward, embracing the chaos with each tentative step. With an eye to the absurd, it asks: how do we find the hole in the wall––the portal––to the path we all crave? mui zyu’s debut album Rotten Bun for an Eggless Century (Father/Daughter Records) saw her explore her heritage, as she dived inward to find acceptance and healing. Now, instead of searching for answers from the inside, Liu raises her head to look at the world around her.
As she attempts to understand the complexities and significance of human existence, she observes apathy alongside overwhelming chaos; the technological advancements of connection with the lack of meaningful bonds and the frustrations of upholding standards set by others. ‘nothing or something to die for’ tries to decipher these juxtaposing truths, holding both the weight of those trying to destroy the world with the utter futility of it all.