FIDLAR – « Fuck it Dog, Life’s a Risk » en tournée au Royaume-Uni et en Europe en 2025 avec « SURVIVING THE DREAM »

Formé en 2009, FIDLAR a commencé comme un groupe de jeunes punks du sud de la Californie, enflammant les soirées underground de Los Angeles avec des morceaux comme Cheap Beer et Wake Bake Skate. Leur ascension fulgurante a été propulsée par la sortie de leur premier album éponyme en 2012, qui les a propulsés sous les projecteurs. Ils ont ensuite enchaîné avec TOO (2015) et ALMOST FREE (2019), peaufinant et élargissant leur son entre surf punk et garage rock. Avec ces trois albums majeurs à leur actif, FIDLAR s’est imposé sur les plus grandes scènes de festivals tels que Coachella, Lollapalooza, Camp Flog Gnaw, Reading & Leeds et Rock Werchter, entre autres.

La pause forcée due à la pandémie a offert au groupe un temps d’introspection. Les membres restants, désormais trio, ont réalisé qu’ils n’étaient plus les jeunes fêtards insouciants de leurs débuts. De cette prise de conscience est né SURVIVING THE DREAM, leur premier album en plus de cinq ans, salué par Rolling Stone, LA Times, Stereogum, Monster Children, UPROXX, Consequence et bien d’autres. Entièrement auto-produit et enregistré au Balboa Recording Studio à East LA, cet album est une ode à leurs racines DIY et à l’énergie brute de leurs concerts explosifs. À la fois chaotique, irrévérencieux, introspectif et rempli de fun, il reflète à la fois leur parcours et leur évolution.

FIDLAR revient avec la version deluxe de SURVIVING THE DREAM, leur quatrième album studio et le premier depuis plus de cinq ans. Disponible dès maintenant, cette édition enrichie comprend le nouveau single « NEW TATTOO » ainsi qu’une démo inédite du morceau « CHANGE ». « NEW TATTOO parle d’une rupture amicale. Pour surmonter la tristesse, j’ai commencé à me faire de nouveaux tatouages, » explique le chanteur Zac Carper. « Se tatouer soi-même a quelque chose de thérapeutique, ça m’aide à avancer. »

Ces nouveaux morceaux viennent compléter un album déjà explosif, enregistré et produit en toute indépendance par le groupe. Avec ce projet, FIDLAR renoue avec ses origines DIY tout en explorant de nouveaux horizons musicaux. L’album a reçu un accueil enthousiaste de la presse spécialisée, notamment Rolling Stone, Stereogum, Document Journal, UPROXX, Consequence, Northern Transmissions, Exclaim, Kerrang!, Clash, DIY Magazine, et bien d’autres. Le LA Times résume parfaitement leur évolution : « [FIDLAR] a réussi à passer du statut de jeunes punks rebelles qui ont marqué le début des années 2010 à celui de véritables légendes ayant influencé une grande partie de la scène punk et hardcore de la génération Z. »

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