L’auteur-compositrice DOE PAORO recherche à la fois l’aspiration et le trouble. Pour son premier album, After, l’artiste New Yorkaise, expatriée à L.A., décide de s’entourer des producteurs Sean Carey (batteur de Bon Iver) et BJ Burton (musicien, producteur et ingénieur, ayant travaillé avec POLIÇA, Sylvan Esso, The Tallest Man On Earth et Volcano Choir), qui la pousseront à approfondir son répertoire musical : un genre hybride entre le R&B, la synth-pop et l’indie électro, ancré dans un minimaliste pragmatique. En 2013, Doe contacta Justin Vernon, leader de Bon Iver, lui demandant s’il serait intéressé par une collaboration. Ce dernier mixa l’un des titres de la chanteuse et de là, naquit une relation avec les membres du groupe Bon Iver. « Il y a des théories comme quoi la pop doit être simpliste » dit-elle, « Mais je pense que la pop peut être surprenante et qu’elle peut même mettre mal à l’aise. Elle peut réveiller quelque chose en vous, vous faire prendre conscience de quelque chose auquel vous n’auriez jamais pensé auparavant. »

English

As a songwriter and vocalist, Doe Paoro seeks to both uplift and unsettle, creating a catalyst for renewal as well as release. The follow-up to her 2012 debut Slow to Love—an album praised for its stark production and a raw but ethereal vocal performance shaped by Doe’s studying of Tibetan folk opera—After maintains its predecessor’s soulful intensity but unfolds into a far more sprawling, finely textured sound. Working in close collaboration with producers Sean Carey (drummer/supporting vocalist for Bon Iver) and BJ Burton (a musician/producer/engineer whose past credits include POLIÇA, Sylvan Esso, The Tallest Man On Earth and Volcano Choir), the New York-bred, L.A.-based artist deepens her musical repertoire and dreams up a hybrid of R&B, synth-pop, and indie-leaning electro that’s rooted in earthy minimalism. “I’m used to just having a piano and working with that,” says Doe, “but with this album we built an entire world with the sonics alone.”