Clairement absurde, infiniment décalé. No Now est le premier album pour le moins surprenant de Clarence Clarity. Philosophe à ses heures, ce dernier s’exprime à l’endroit de son oeuvre en ces termes : « Cet album se réalise dans le « non-moment ». Ton passé est ce que tu en fait, ton futur est littéralement gravé dans le marbre, et tu en as assez de courir après le présent ? Cet album est là pour te rappeler l’infinie flexibilité d’un univers absurde.(…) Ne t’inquiète pas pour ce qui est de laisser une trace, le cosmos n’a rien à foutre de Mozart ou Einstein ou Jésus de Nazareth, et encore moins de toi.(…) Cet album est l’exorcisme de tout ce que j’ai appris jusque là (…) c’est l’album que je devais faire ». Et de conclure : « Je suis créateur et destructeur de mes propres mondes. Le No Now ne terminera jamais car il n’a jamais commencé ». Ok.

English

Clarence Clarity is a new entertainment opportunity for you. An out-of-body invitation.

A moment of existential clarity (or dread) is a good description of the feeling brought on by the all out assault of ‘Gospel Truth’.

The ten odd minutes of contorted boom-bap pop in this EP are a wake up call to the arrival of a deranged, dervish of creativity. When he sings « I can’t save myself from me » over some noise that puts hi-fi and lo-fi, high-brow and low-brow into a voodoo blender, you believe him.

Clarence Clarity wants you to embrace the absurdness of absolute freedom. Be your own God. It’s your reality tunnel. A puzzle to solve or glittering unorganised chaos.
Amen.