Bananagun
Tournée
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19/092021Le TaquinToulouse
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28/092021IBOATBordeaux
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29/092021L’UbuRennes
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30/092021Petit BainParis
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02/102021Le Grand MixTourcoing
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18/022022Le Grand MixTourcoing
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19/022022Petit BainParis
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20/022022L’UbuRennes
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21/022022Blonde VenusBordeaux
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01/032022Le TaquinToulouse
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13/032022AstrolabeOrléans
Groupe originaire de Melbourne, avec un son allant de l’afrobeat et de l’exotica des années 1960 et 1970 aux influences de Fela Kuti, à la rythmique rageuse proto-garage de The Monks et aux grooves de Os Mutantes, la musique de Bananagun possède l’exotisme d’un attirant monde perdu. On pourrait trouver leurs albums parmi les pépites d’un vieux cageot de vinyles. Pourtant, à l’image des singles punchy et originaux « Do Yeah » et « Out Of Reach », les membres du groupe ne versent pas dans le revivalisme. Sur leur premier album sorti en juin 2020, The True Story of Bananagun, ils font un immense bond en avant avec leur mélange de tropicália universelle.
The True Story of Bananagun marque leur toute première incursion dans l’écriture et l’enregistrement en tant que groupe, avec des fondations nées des idées et des démos du guitariste, chanteur et flûtiste Nick van Bakel. Ce multi-instrumentiste a grandi dans les années 1990 avec les vidéos de skate, bercé par les beats hip-hop qui les accompagnaient – apprenant des meilleurs comme Mr. Dibbs, fondateur du label Self Core.
Ce qui anime Bananagun, c’est l’amour du groove, même si les rythmes aujourd’hui vont bien au-delà de ces premières influences. « Nous voulions faire quelque chose de différent de tous les autres », raconte le groupe. « Nous voulions un son vif, joyeux, avec une profondeur semblable à celle de la jungle. Comme une ode à la nature. »
Nick van Bakel a d’abord été rejoint par son cousin Jimi Gregg à la batterie – unis par une passion commune pour Le Livre de la jungle –, puis par des amis qui partageaient comme eux le désir de toujours s’amuser en travaillant : Jack Crook (guitare/chant), Charlotte Tobin (djembé/percussions) et Josh Dans (basse). La spontanéité, la fraîcheur entre les cinq membres du groupe se retrouvent sur The True Story of Bananagun, fruit de nuits passées à répéter et à jammer aux Phaedra Studios du producteur John Lee.
English
Melbourne-based Bananagun have announced their debut album “The True Story of Bananagun”, released on June 26th 2020 via Full Time Hobby. First shot is the single “People Talk Too Much” – an upbeat, sunshine nugget inspired by Fela Kuti.
The track bounces around atop hybrid percussion that fuses West African high life with Brazilian tropicalia and showcases the love of the groove that’s at the heart of everything Bananagun. « We didn’t want to do what everyone else was doing,” the band’s founder, guitarist, vocalist and flautist Nick van Bakel says. “We wanted it to be vibrant, colourful and have depth like the jungle. Like an ode to nature. »
Hailing from Melbourne, but with a sound stretching from 60s and 70s Afrobeat and exotica, the proto-garage rhythmic fury of The Monks and the grooves of Os Mutantes, there’s an enticing lost world exoticism to the music of Bananagun.
It’s the sort of stuff that could’ve come from a dusty record crate of hidden gems; yet as the punchy, colourfully vibrant pair of sold out singles Do Yeah and Out of Reach have proven over the past 12 months, the band are no revivalists.
On debut album The True Story of Bananagun, they make a giant leap forward with their outward-looking blend of global tropical psychedelia.
The True Story of Bananagun marks the group’s first full foray into writing and recording as a complete five piece band, having originally germinated in the bedroom ideas and demos of guitarist, vocalist and flautist Nick van Bakel. The multi-instrumentalist grew up on skate videos, absorbing the hip-hop beats that soundtracked them – taking on touchstones like Self Core label founder Mr. Dibbs and other early 90’s turntablists.